Albert Ondo Ossa, un homme à l’ego démesuré atteint du syndrome d’hubris
Dans une interview larmoyante sur Télésud, l’universitaire crie au loup et adopte une pathétique posture digne d'un opportuniste recalé qui préfère le mensonge victimiste à la réalité d'un Gabon qui avance sans lui.
D ans son récit larmoyant contre le pouvoir en place, le Pr Albert Ondo Ossa donne le sentiment d’un « homme atteint par le syndrome d'hubris », c’est-à-dire « la maladie du pouvoir » qui se caractérise par une démesure, un excès de confiance en soi, une perte de contact avec la réalité, une arrogance et un orgueil démesuré ainsi qu'un sentiment d'omnipotence doublé d'un comportement impulsif sujet à des actions radicales sans mesurer les conséquences.
Dans son récit larmoyant contre le pouvoir en place, le Pr Albert Ondo Ossa donne le sentiment d’un « homme atteint par le syndrome d'hubris », c’est-à-dire « la maladie du pouvoir » qui se caractérise par une démesure, un excès de confiance en soi, une perte de contact avec la réalité, une arrogance et un orgueil démesuré ainsi qu'un sentiment d'omnipotence doublé d'un comportement impulsif sujet à des actions radicales sans mesurer les conséquences.
Les sorties tonitruantes de cet universitaire à l'ego froissé ressemblent plus à une opération de chantage et de racket politico-financier qu'à une réelle opposition constructive. Dans cette interview fleuve à la Bongo-TV Télésud, Albert Ondo Ossa, "l'homme atteint du syndrome d’hubris", radote sur les pseudo-promesses non tenues par Oligui Nguema en ignorant volontairement les réformes conduites par le Président élu axées sur la souveraineté économique et la bonne gouvernance, y compris la relance de l'économie et la stabilisation des finances publiques, le respect des engagements internationaux de l’État y compris le remboursement progressif de la dette abyssale héritée du clan Ali Bongo, la lutte contre la corruption, la relance des infrastructures, le paiement et la revalorisation des pensions de retraite, le règlement des rappels de solde des fonctionnaires, le paiement des cotisations sociales gelées par Ali Bongo, le développement de plusieurs programmes d'activités au profit des Gabonais tels que Taxi Gab et Gab Pêche.
Amnésique, Albert Ondo Ossa, l'homme atteint du syndrome d’hubris, semble ignorer que le coup de libération du 30 août 2023 a été plébiscité par 95 % des Gabonais lors du référendum constitutionnel de 2024 et que le Président de la République, Brice Clotaire Oligui Nguéma a ete elu avec un suffrage de 90,3% de votes exprimés par les gabonais. Pire encore, en taxant ses ex-alliés d'Alternance 2023 de traîtres, parce qu'ils ont choisi le Gabon au détriment de sa posture stérile, il démontre son isolement sur la scène politique nationale.
Il est évident et clair que Ondo Ossa, alias « hubris man », n'est qu'un reliquat du passé. Isolé, il s'accroche à l'élection truquée de 2023 et il espère que les agents étrangers tapis dans l’ombre l’installeront un jour au sommet de l’État. En attendant que son rêve se réalise, le Gabon avance sans lui ; qu'il se taise ou assume sa marginalité.
